saldy payn

Nom: Sadly payn

Âge : 26 ans

Sexe : M

Sexualité : Hétéro

Créature : Démon

Attributs particuliers : Porte deux tatouages sur chaque bras et un collier de crocs autour du cou.

Pouvoirs : Hellfire : Possède le pouvoir de dompter les flammes noires. Ce feu démoniaque est si terrible qu’il avale des flammes normales avec la plus grande facilité. Il faut que la cible soit à portée de vue avec une distance maximale de 20 mètres. Au plus proche est l’ennemi, au plus ardentes sont les flammes. Pour donner une idée, un individu à moins de 5 mètres (humain) pourrait être carbonisé alors qu’à 20 mètres il aurait juste une brûlure équivalente à un gros coup de soleil (un très gros ^^’).
Ce pouvoir n’est en rien comparable à de la pyromancie car les flammes attaquent tout les matériaux (organiques, synthétique ou minéral) avec la même virulence. Elles peuvent faire fondre des rochers comme du beurre si la portée est courte et que le pouvoir est maintenu assez longtemps (il faudrait 10 minutes pour arriver à ce stade là si aucune autre action n’est entreprise. Par contre, faire carboniser un être humain prendrait à peine 3 minutes…un lycaon 2 minutes s’il a sa fourrure sur lui.).
Ce pouvoir s’active sur simple concentration et peut être terminé aussi vite qu’il est apparu…seulement les brûlures, elles, resteront.

Vice et Mature : Les deux tatouages qu’arbore Pain renferment les deux démones qu’il a soumise durant son initiation.
Vice est l’attaquante, son tempérament la pousse à adopter la forme d’arme blanche aussi diverse que mortelle. Pain pourrait voir son poing recouvert de piques ou son bras se transformer en glaive ou en faux. Elle s’adapte en fonction des désirs de Pain.
Mature, elle, est dévouée à la protection. Elle protégera n’importe quelle partie du corps qui serait susceptible d’être touchée par une attaque ennemie. Seulement, Pain doit savoir d'où provient l'attaque s'il souhaite la faire contrer par Mature. Une attaque dans un angle mort ou par surprise ne saurait être paré de cette manière. Mature ne peut protéger que la zone choisie par Pain.

Niveau puissance, de par leur nature démoniaque, elles sont plus solides que de l’acier. Le tranchant de Vice est tel qu’elle pourrait trancher une planche de bois de 15 cm d’épaisseur comme du papier cependant elle ne pourrait la faire même chose avec de l’acier, elle serait stoppée comme une épée normale.
Mature quant à elle, arrête aussi bien les projectiles physiques que les coups qui lui sont portées, sa puissance est fonction de l’état mental de Pain. Au plus sa rage augmente, au plus elle devient résistante. Pour donner un exemple, si Pain est furieux, des griffes ou des crocs ne sauraient entamer la partie du corps protégée par Mature.
Une seule partie du corps est protégée à la fois (Tête, Torse, bras droit, bras gauche, bassin, jambe droite, jambe gauche).


Physique : Mesurant à peu près 1m75, Pain a les cheveux noirs de jais et les yeux couleur rouge carné. Il affiche en général un petit sourire sardonique, la marque de sa satisfaction permanente et l’assurance qu’il porte en lui et son pouvoir.
Il est en général habillé d’une tenue gothique noire et porte une légère cape assorti couleur nuit. Il aime s’afficher avec des bracelets et porte une ceinture en métal en forme de cœur (le centre de sa haine que tout le monde confond avec le symbole de l’amour…).
Cela rassure le peuple…s’il savait seulement ce que contient son cœur ! Mais, il porte en permanence la croix que lui a donné son Maître, car elle symbolise la mission que s’est donné le Prophète des Origines.
Afin de dissimuler les tatouages qu’il porte aux bras, et ainsi dissimuler la présence de ses deux gardiennes, il garde toujours un t-shirt noir moulant sur lui (mais en vérité, elle dissimule les nombreuses cicatrices qu’il a gagné lors de ses précédents duels…).
Comme arme, il ne porte qu’un katana, une simple lame pour tromper les ennemis qui se feront pourfendre par Vice.

Mental : Plutôt sûr de ses capacités, narquois, provocateur, calculateur avec un zeste d’humour (noir tant qu’à faire). Une fois qu’un ennemi devient sa proie, il prendra plaisir à la voir saigner, le sang l’a toujours fasciné…surtout ceux des autres.
Une fois que sa cible montre un signe de faiblesse, il l’exploite à outrance, devient très agressif et fait preuve alors d’une grande cruauté.
SM ? Plutôt S au plus le combat sera violent, au plus il prendra plaisir à le poursuive. Un ennemi fort lui donnera la motivation de se donner à fond ! Ce qu'il ne fait pas avec de misérables ennemis. Ne faisant plus guère attention aux blessures qu’il se prendra tellement la jouissance du combat sera intense. Mais il ne sera pas idiot au point de se laisser mourir juste pour le plaisir du combat. Il saura alors prendre la décision de battre en retraite si ça s’impose.


Histoire : Dès l’âge de 16 ans, je marchais déjà dans le sang.
Ma véritable histoire a commencé le jour où je suis devenu orphelin…Avant ça, je n’étais pas, je n’étais rien…
Afin que vous compreniez ce que je suis devenu maintenant, laissez moi vous conter rapidement les premiers chapitres du livre de ma vie :

Je me souviens que cette nuit-là, j’ai entendu ma mère crier…mon père lui, devait être déjà mort quand j’ai ouvert les yeux. Il faisait étrangement calme dans la maison cette fameuse nuit…l’air était oppressant, je me souviens qu’il faisait très chaud et dans l’air…dans l’air il y avait une odeur forte, cuivrée même…l’odeur du sang. Non pas le mien, mais celui de mes parents. Quand je suis sorti de mon lit, mon premier réflexe a été de me diriger vers la chambre où dormais mes parents puis je me suis ravisé…mon instinct me soufflait que si je passais la porte en face de moi dans le couloir, je n’y survivrai pas.
Calmement, sans faire le moindre bruit, je suis descendu dans la cuisine, là, j’y ai trouvé un couteau que ma mère utilisait quand on devait dépecer des lapins ou du gibier. C’était un couteau qui faisait partie de l’argenterie que ma mère avait reçue de sa propre mère. Puis, je partis me poster derrière les escaliers et j’attendis. Une dizaine de minutes passèrent et les bruits qui provenaient de la chambre de mes parents ne laissaient aucun doute sur ce que leur agresseur était en train de faire : il les dévorait !

La nuit fut déchirée ensuite par un long hurlement de jubilation où se mêlait l’excitation et la fureur : une bête sauvage ? Je devinais alors la nature de celui qui venait ainsi de se repaître de leurs chairs…un lycaon ! Conscient que je devais ma survie à ma discrétion, je pris lentement le manteau de mon père qui se trouvait près de moi et me couvrit avec. Même s’il ne pouvait pas me voir, il pourrait me sentir mais avec ça sur mon dos…j’espérais qu’il ne me sentira pas.

Quand il eut fini de festoyer et qu’il descendit satisfait de son repas, je retins ma respiration et attendit qu’il pose ses immondes pattes griffues sur la dernière marche. Je fus surpris de voir les jambes nues d’un homme…
Rassemblant toute ma haine je frappais d’un grand coup ses tendons d’Achille et le fis trébucher. Il ne me fallut pas plus pour lui sauter sur le dos et le frapper de mon couteau à la nuque et aux épaules, me servant de ce couteau comme d’un pic à glace, je ne me souviens plus du nombre de coup que je lui ai porté mais….quand ma rage s’éteignit enfin….je baignais dans une mare de sang.

Mais il respirait encore faiblement. Je me retirais de son dos pour me calmer et je le vis se traîner lamentablement vers la sortie. Visiblement, il était pris de panique et cherchait à s’enfuir du mieux qu’il pût sans se douter que son agresseur avait à peine 16 ans…

Autant vous dire qu’il n’atteignit jamais la porte…

Je garde en souvenir de ce sinistre nuit, un collier de longs crocs effilés…chaque année, le jour de la date de la mort de mes parents, je vais le poser sur le crâne de leur assassin.


L’année qui suivit, je fus mis dans un orphelinat chargé de me donner « l’amour et l’attention » dont j’avais besoin après cet évènement tragique.
Cela n’apaisa pas ma douleur, au contraire, ma rage était toujours intacte et je ne me fis pas d’amis...On me présenta par la suite à un étrange individu : c’était un saint homme à ce qu’on racontait. Il parcourait les contrées afin d’y apporter son enseignement basé sur la paix, le respect et l’amour des autres. Il s’était donné une mission divine qui était de laver notre Terre de tous les péchés commis par les hommes. Là où il passait, les hommes revenaient vers de vraies valeurs. Il n’y avait plus de jalousie et de haine dans le cœur de ce qu’il croisait.
Il avait un don et certains pensaient qu’il pratiquait une magie perdue, oubliée.
On le surnommait, le Prophète des Origines.